Salaire complet pendant l'allaitement

Jusqu'à présent, lorsqu'une travailleuse du secteur de la distribution commerciale dans les grands magasins voulait exercer son droit d'allaiter ou d'embouteiller son fils, c'est-à-dire d'utiliser le permis de lactation au travail, il a subi une réduction de salaire importante. La femme ne gagnait que le salaire de base et les complemetos, et les concepts de variable et d’objectif n’étaient pas inclus dans le salaire.

En raison de cette circonstance, les syndicats contre les employeurs des grandes entreprises de distribution (ANGED) ont intenté un procès contre les grandes maisons de commerce et cette semaine, la peine a été prononcée. Le tribunal social de la Cour nationale dit que les grandes entreprises ils doivent payer le plein salaire aux travailleurs qui souhaitent utiliser ce permis ou la garde d’enfants. Environ 300 000 ouvriers de grands magasins pourraient bénéficier de cet échec.

Ce permis est régi par l'article 37.4 du Statut des travailleurs et consiste en ce que les femmes qui travaillent et qui veulent allaiter (naturellement ou artificiellement) leur enfant de moins de 9 mois ont le droit de s'absenter du travail pendant une heure. Ils peuvent se diviser en deux moitiés. En outre, si la femme le souhaite, elle peut substituer ce droit à une réduction de sa journée de travail en une demi-heure, à la fois au début et à la fin de la journée. Cette autorisation peut être exercée à la fois par la mère et par le père s'ils travaillent tous les deux. Il est également autorisé à accumuler en plusieurs jours toutes les heures réservées.

Les grandes entreprises ont mal interprété cette réglementation en réduisant le salaire à l'unisson avec la réduction du jour. Ce groupe comprend des centres importants tels que El Corte Inglés, Carrefour, Alcampo, Leroy Merlin ou IKEA, entre autres.