Devise pour décider du nom de famille du bébé?

La future loi controversée sur le registre civil propose aux parents de s’entendre sur l’ordre des noms de famille de l’enfant, mais il ne semble pas y avoir de consensus sur la manière de résoudre le problème lorsque papa et maman ne parviennent pas à un accord. La solution consistait à utiliser l'ordre alphabétique, mais les experts estiment que lancer une pièce en l'air pour décider du nom de famille du bébé C'est plus objectif.

L'objectif de la nouvelle loi est d'éliminer la prévalence du nom de famille du père, en permettant aux parents de choisir d'un commun accord le nom qu'ils souhaitent laisser en premier lorsqu'un nouveau-né est inscrit. A condition de maintenir cet ordre avec tous les enfants.

L'article 49 de la nouvelle loi dit:

"En cas de désaccord ou lorsque les noms de famille n'ont pas été enregistrés dans la demande d'enregistrement, l'agent de l'état civil détermine l'ordre des noms de famille en fonction de leur ordre alphabétique."

Comme prévu, la proposition a suscité un débat houleux. Etablir les noms de famille par ordre alphabétique ne suffit pas, entre autres, à convaincre, car on pense qu'après plusieurs générations, les noms de famille des derniers lieux de l'alphabet disparaîtront à la longue.

Cinq solutions possibles

Les parents sont de plus en plus perdus. Et les politiciens qui discutent de la loi au stade des amendements aussi. La question semble se mêler de plus en plus au Congrès. Dans les amendements, les différents partis politiques ont présenté Jusqu'à cinq formules alternatives dans l'ordre alphabétique en cas de désaccord entre les parents.

Il est proposé:

  • 1) La suppression du changement juridique, c'est-à-dire de supprimer le critère d'établissement de l'ordre des noms de famille et suivre comme jusqu'à présent.

  • 2) mettre en premier nom de famille moins fréquent selon les comptes de l'Institut national de la statistique.

  • 3) Définir l'ordre des noms de famille par tirage au sort.

  • 4) L’ordre des noms de famille ne suit pas automatiquement l’alphabet, mais que certains élément aléatoire. Que le fonctionnaire décide l'ordre en utilisant alternativement un critère d'ordre alphabétique croissant ou décroissant. C'est-à-dire que le responsable du registre donne la priorité, dans une inscription, au nom de famille dont la lettre initiale est placée avant dans l'alphabet, et dans la suivante inscription, prime le nom de famille dont la lettre initiale est postérieure. Cela ferait plus de rotation de nom de famille.

  • 4) Enfin, il a été suggéré d’ajouter le conjonction copulative 'i' Entrez les noms lorsque demandé.

Lance une pièce en l'air

Pouvez-vous imaginer dans le registre civil jeter une pièce en l'air pour décider du nom de famille que portera votre fils? Cela semble étrange, mais apparemment, dans certains pays européens, c'est une méthode assez utilisée.

Selon Patricia López Peláez, experte en droit civil, le critères de décision de la chance C'est la solution parce que "cela ne donne pas la préférence à aucune et ne signifie pas nécessairement qu'un nom de famille est perdu au fil du temps". En outre, il pense que cela résout le problème dans les familles formées de deux pères ou de deux mères.

Il estime qu'en tout cas, du point de vue de l'égalité, l'Espagne est un pays plus avancé que les autres Européens dans lequel les enfants n'ont qu'un nom de famille et que, de plus, c'est celui du père, alors qu'ici les femmes conservent le même statut. Nom quand ils se marient et le transmettent à leurs enfants.

Ni ordre alphabétique ni ordre aléatoire

Selon un professeur de mathématiques appliquées, aucune des deux formules n'est la solution.

Sur la base d'un calcul des probabilités, il estime que tous les noms de famille finiront par disparaître sauf "Abbot". À un moment donné, tous les citoyens se retrouveront avec le même nom de famille et, en outre, en double exemplaire: «Abbé Abad».

Il ne croit pas non plus que le tirage au sort sera une solution, car "Cela trahit aussi l'intuition et ne résout pas le problème de la permanence des noms, car ils disparaîtront aussi dans cette hypothèse".

En général, l’idée semble avoir été bien accueillie que les parents s’entendent pour définir l’ordre des noms de famille des enfants, mais il reste à déterminer comment le conflit sera résolu si l’on ne parvient pas à un accord. . Allons-nous finir par lancer une pièce de monnaie en l'air pour décider du nom de famille du bébé? Le 4 mai, lorsque la nouvelle loi sera finalement votée, nous connaîtrons la réponse.